La Côte d’Opale n’est pas réputée pour la pratique du surf et pourtant elle abrite tout au long de l’année une tribu d’âmes en combinaison noire. Bravant le froid et une eau à quelques degrés, nombreux sont ceux à s’élancer dans la houle pour atteindre les vagues. Jonathan Skorupski en fait partie. Depuis bientôt 3 ans il sillonne ces spots méconnus et va à la rencontre des personnes les faisant vivre. Il nous livre à travers ce portefolio un témoignage photographique bien éloigné des images d’Épinal du surf faites de soleil, de bikinis et de longs rouleaux interminables.